Après une année de pause à cause de la pandémie, le président de la République a reçu les centrales syndicales ce samedi, à l'occasion de la fête internationale du travail, pour recevoir les cahiers de doléances, comme le veut la tradition. "Nous avons tous la quête de donner un bien-être aux travailleurs, les difficultés sont exacerbées par les effets de la pandémie, vous l'avez tous évoqué, mais il faut que nous soyons sur une même ligne pour la prise en charge des préoccupations des travailleurs", a lancé le président aux centrales syndicales.
Ainsi, face à l'impact sévère de la pandémie, le président Macky Sall rappelle que le gouvernement n'est pas resté les bras croisés. "Nous avons soutenu les entreprises, les menaces, etc... entre autres secteurs touchés. Cependant, il faut noter que l'État était même confronté à une hausse de ses charges. Malgré tout, j'ai tenu à maintenir les emplois à travers l'ordonnance prise en avril 2020 qui nous a permis de préserver les emplois et les licenciements abusifs."
Abordant les relations entre travailleurs, État et employeurs, le président Macky Sall estime que l'entente doit primer. "Entre l'État, l'entreprise et les travailleurs, les intérêts ne doivent pas être seulement conflictuels, mais ils doivent être complémentaires et dynamiques parce que nous avons tous la responsabilité commune de privilégier le dialogue". Ainsi, le président considère que le gouvernement reste ouvert à cela car, le volet social restera toujours une priorité pour lui. "Chacun d'entre vous remplit une part sociale importante", a t-il fait savoir.
Par ailleurs, considérant les effets de la pandémie et son impact dans le monde du travail, le président de la République n'oubliera pas de signifier aux centrales syndicales que c'est le moment d'avoir une réflexion prospective. "Nous devons penser au futur car la pandémie nous a tous surpris. Nous devons donc anticiper et faire preuve d'ingéniosité tout en revoyant notre rapport au travail...
Ainsi, face à l'impact sévère de la pandémie, le président Macky Sall rappelle que le gouvernement n'est pas resté les bras croisés. "Nous avons soutenu les entreprises, les menaces, etc... entre autres secteurs touchés. Cependant, il faut noter que l'État était même confronté à une hausse de ses charges. Malgré tout, j'ai tenu à maintenir les emplois à travers l'ordonnance prise en avril 2020 qui nous a permis de préserver les emplois et les licenciements abusifs."
Abordant les relations entre travailleurs, État et employeurs, le président Macky Sall estime que l'entente doit primer. "Entre l'État, l'entreprise et les travailleurs, les intérêts ne doivent pas être seulement conflictuels, mais ils doivent être complémentaires et dynamiques parce que nous avons tous la responsabilité commune de privilégier le dialogue". Ainsi, le président considère que le gouvernement reste ouvert à cela car, le volet social restera toujours une priorité pour lui. "Chacun d'entre vous remplit une part sociale importante", a t-il fait savoir.
Par ailleurs, considérant les effets de la pandémie et son impact dans le monde du travail, le président de la République n'oubliera pas de signifier aux centrales syndicales que c'est le moment d'avoir une réflexion prospective. "Nous devons penser au futur car la pandémie nous a tous surpris. Nous devons donc anticiper et faire preuve d'ingéniosité tout en revoyant notre rapport au travail...
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